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Biden refuse que la "violence politique devienne la norme", un an après l'assaut du Capitole


Rédigé le Jeudi 6 Janvier 2022 à 13:29 | Lu 201 fois | 3 commentaire(s)




Biden refuse que la "violence politique devienne la norme", un an après l'assaut du Capitole
"Nous ne pouvons pas nous permettre de devenir ce genre de nation", lance-t-il dans ce passage communiqué par la Maison Blanche, un an après que des milliers de partisans de Donald Trump ont tenté d'empêcher la certification de son élection par le Congrès américain.
 
Le démocrate de 79 ans prendra la parole à 14h00 GMT dans le "hall des statues" du Capitole, en compagnie de la vice-présidente Kamala Harris.
 
La "responsabilité" de Trump
C'est dans ce même cadre imposant qu'il y a un an, les États-Unis et le monde, stupéfaits, ont vu parader des partisans de l'ancien président américain, tandis qu'au-dehors, d'autres émeutiers s'en prenaient aux forces de l'ordre.
 
Joe Biden a longtemps choisi de traiter par le mépris son prédécesseur, en refusant par exemple de le nommer en public. Mais cette fois, le président américain est décidé à évoquer publiquement la "responsabilité particulière" de Donald Trump dans ce déchaînement de violence, a déjà fait savoir la Maison Blanche. Joe Biden "voit dans le 6 janvier le couronnement tragique de ce que quatre années de présidence Trump ont fait à ce pays", a déclaré sa porte-parole Jen Psaki dès mercredi.
 
Le président veut-il imprimer un tournant plus grave, plus politique, à un mandat qui donne l'impression de s'embourber?
 
Après avoir mis l'accent pendant des mois sur la politique économique et sociale, la Maison Blanche voit une bonne partie de ses espoirs de réformes partir en fumée pour cause de blocage parlementaire.
 
La nouvelle vague de la pandémie de Covid-19, l'inflation, le souvenir du retrait chaotique d'Afghanistan: autant d'éléments qui sapent jour après jour la cote de confiance de Joe Biden.
 
55% 
Plus inquiétant encore: selon un sondage tout récent, seuls 55% des Américains estimeraient qu'il a été élu à la régulière. Car les discours de Donald Trump ont fait leur chemin dans les esprits: le milliardaire américain continue de clamer, sans preuve, qu'il est le vrai vainqueur de l'élection.
 
Alors certes, le républicain a renoncé à s'exprimer jeudi, sans doute conscient que la conférence de presse qu'il voulait donner depuis sa luxueuse résidence de Floride serait une provocation de trop. Mais l'ancien président n'a en rien modéré son verbe. Il a encore qualifié mardi de "crime du siècle" la fraude qui a, selon lui, entaché l'élection présidentielle de 2020. Et dans le camp républicain, rares sont ceux qui osent critiquer à voix haute Donald Trump.
 
Les ténors du parti conservateur ont pour la plupart choisi de faire profil bas jeudi.
 
"Précipice”
Le chef de file des républicains au Sénat, Mitch McConnell, avait estimé en février 2021 que l'ancien président était "moralement responsable" de l'assaut du 6 janvier. Mais jeudi, il se rend à des obsèques dans le sud des États-Unis, très loin des cérémonies de Washington.
 
"Notre grande nation titube désormais au bord d'un précipice de plus en plus profond. Sans action immédiate, nous risquons sérieusement de connaître un affrontement civil", s'alarme l'ancien président Jimmy Carter, dans une tribune publiée par le New York Times.
 
À cette nation profondément divisée, Joe Biden veut proposer une marche à suivre pour renforcer la démocratie.
 
Le président tente en particulier de relancer des textes de loi sur l'accès des minorités au droit de vote. Il se rendra dans ce but mardi dans l'État du sud de Géorgie, emblématique des combats passés et présents pour les droits civiques.
 
Mais Joe Biden fait face à des États conservateurs qui multiplient les législations compliquant l'accès des Afro-Américains aux urnes, à une Cour suprême portant la marque conservatrice de son prédécesseur, et à un Congrès que les démocrates ne contrôlent que d'un cheveu, et qu'ils pourraient perdre complètement aux élections législatives de l'automne prochain.
 
La marge de manœuvre du président pour sauver l'"âme" de l'Amérique, comme il l'a promis pendant sa campagne, semble bien limitée.
 



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