Dans son communiqué, le Bureau politique du Grand parti (Gp) dit condamner avec la dernière énergie, «les arrestations arbitraires et sans fondement de proches du président Ousmane Sonko et de Pastef».
Par conséquent, le Grand parti exige leur libération, «au plus vite et la fin de la chasse à l’homme qui menace le socle de notre démocratie».
«Nous en appelons à la responsabilité du Président Macky Sall et de son gouvernement, pour la préservation des acquis démocratiques et pour endiguer toutes les menaces à la cohésion nationale», invitent Malick Gackou et ses camarades.
«Le Bureau politique du Grand parti salue la constante mobilisation des militantsn pour la pérennisation des combats démocratiques dans notre pays», lit-on dans le document.
Pour rappel, Fadilou Keïta a été arrêté suite à une publication sur Facebook, accusant l’Etat d’être responsable de la disparition des deux militaires Didier Badji et Fulbert Sambou. Membre du cabinet d’Ousmane Sonko, Fadilou Keïta a été, en effet, arrêté sous les ordres du procureur de la République. Il serait poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles conformément aux articles 80 et 255.
Bes Bi
Par conséquent, le Grand parti exige leur libération, «au plus vite et la fin de la chasse à l’homme qui menace le socle de notre démocratie».
«Nous en appelons à la responsabilité du Président Macky Sall et de son gouvernement, pour la préservation des acquis démocratiques et pour endiguer toutes les menaces à la cohésion nationale», invitent Malick Gackou et ses camarades.
«Le Bureau politique du Grand parti salue la constante mobilisation des militantsn pour la pérennisation des combats démocratiques dans notre pays», lit-on dans le document.
Pour rappel, Fadilou Keïta a été arrêté suite à une publication sur Facebook, accusant l’Etat d’être responsable de la disparition des deux militaires Didier Badji et Fulbert Sambou. Membre du cabinet d’Ousmane Sonko, Fadilou Keïta a été, en effet, arrêté sous les ordres du procureur de la République. Il serait poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles conformément aux articles 80 et 255.
Bes Bi
