Le ministre de l’Elevage et des Productions animales, Aminata Mbengue Ndiaye, a effectué avant-hier une visite dans quelques marchsé de la région de Louga. Elle a commencé sa tournée chez elle, au marché de la commune, avant de terminer son périple à Kébémer au foirail de l’ancienne gares ferroviaire.
Le ministre a rencontré les éleveurs pour échanger avec eux. « La volonté du Gouvernement est de faire en sorte que chaque père de famille ait un mouton, le jour de la Tabaski. Le président de la république a pris les devants, en prenant des mesures pour mettre à l’aise les éleveurs.
Celles-ci ont trait à la sécurité, à l’aménagement des sites (eaux, électricité), à la règlementation des transports. C’est pourquoi, nous conseillons de proposer des prix raisonnables aux consommateurs», a-t-elle demandé aux éleveurs.
« Par la même occasion, nous demandons aussi à ces derniers, d’éviter de chercher l’impossible. Il serait utopique de vouloir acheter un mouton qui coûte 100 000 francs, alors que nous n’avons que 50 000 francs en poche », a laissé entendre le ministre.
Pour répondre aux doléances des éleveurs de Kébémer, qui ont encore posé le problème de l’affectation d’un site pour abriter le foirail, Aminata Mbengue Ndiaye a pris l’engagement de saisir la municipalité, car pour elle, Kébémer mérite de bénéficier d’un marché à bétail avec toutes les commodités.
L’Observateur
Le ministre a rencontré les éleveurs pour échanger avec eux. « La volonté du Gouvernement est de faire en sorte que chaque père de famille ait un mouton, le jour de la Tabaski. Le président de la république a pris les devants, en prenant des mesures pour mettre à l’aise les éleveurs.
Celles-ci ont trait à la sécurité, à l’aménagement des sites (eaux, électricité), à la règlementation des transports. C’est pourquoi, nous conseillons de proposer des prix raisonnables aux consommateurs», a-t-elle demandé aux éleveurs.
« Par la même occasion, nous demandons aussi à ces derniers, d’éviter de chercher l’impossible. Il serait utopique de vouloir acheter un mouton qui coûte 100 000 francs, alors que nous n’avons que 50 000 francs en poche », a laissé entendre le ministre.
Pour répondre aux doléances des éleveurs de Kébémer, qui ont encore posé le problème de l’affectation d’un site pour abriter le foirail, Aminata Mbengue Ndiaye a pris l’engagement de saisir la municipalité, car pour elle, Kébémer mérite de bénéficier d’un marché à bétail avec toutes les commodités.
L’Observateur