« Dans son conducteur, il n’y a eu que des thèses, il n’y a pas d’antithèse. S’il y a ces défauts, le public doit être au courant qu’elle a tenté de joindre Aliou Sall. Nulle part, elle ne dit nous avons tenté d’avoir Aliou Sall face à la caméra. Je n’ai pas vu quelque part où elle annonce qu’Aliou Sall a décliné l’invitation de venir s’exprimer. Je n’ai vu nulle part où elle annonce qu’elle a tenté de joindre quelqu’un qui apporte une antithèse », a déclaré l’ex présentateur de ‘’The News’’ sur la RTS.
Ibrahima Sané en est convaincu, Mayeni Jones « a fauté ». Non seulement pour n’avoir pas donné la parole à Aliou Sall, mais également au patron de BP. « Comment pendant un an elle a mené son enquête et n’a pas pu prendre rendez-vous avec le patron de BP ? A supposer qu’elle n’ait pas obtenu ce rendez-vous, mais qu’elle le dise dans le documentaire ! », a-t-il souligné.
« Elle est allée démontrer une chose dont elle est convaincue et c’est cela le problème. Ce n’est pas au journaliste de tirer des conclusions. J’ai du mal à croire que même le bureau national de BP a refusé de lui donner une interview. On ne sait pas la vérité dans cette affaire. On aurait pu savoir la vérité s’il y avait une confrontation directe de ces choses-là », a encore déploré Ibrahima Sané, membre du CNRA.
Ibrahima Sané en est convaincu, Mayeni Jones « a fauté ». Non seulement pour n’avoir pas donné la parole à Aliou Sall, mais également au patron de BP. « Comment pendant un an elle a mené son enquête et n’a pas pu prendre rendez-vous avec le patron de BP ? A supposer qu’elle n’ait pas obtenu ce rendez-vous, mais qu’elle le dise dans le documentaire ! », a-t-il souligné.
« Elle est allée démontrer une chose dont elle est convaincue et c’est cela le problème. Ce n’est pas au journaliste de tirer des conclusions. J’ai du mal à croire que même le bureau national de BP a refusé de lui donner une interview. On ne sait pas la vérité dans cette affaire. On aurait pu savoir la vérité s’il y avait une confrontation directe de ces choses-là », a encore déploré Ibrahima Sané, membre du CNRA.