Du nouveau dans l’affaire du marché d’aménagement du Parc des Technologies Numériques (PTN) de Diamniadio. Selon "Seneweb", repris par MSN Consulting, quatre responsables poursuivis pour détournement de deniers publics, complicité et blanchiment de capitaux, ont été fixés sur leur sort.
L’entrepreneure Amy Samakhé et la Directrice de l’administration générale (DAG), Hélène Ndouckité Helndou Diouf, ont été remises en liberté sous contrôle judiciaire, après avoir déposé une caution réelle. En revanche, le directeur administratif et financier (DAF), Ismaïla Thimbo et le coordonnateur Bassirou Abdou Bâ, ont été placés sous mandat de dépôt.
L’affaire concerne un marché public estimé à 1,476 milliard FCfa, destiné à l’aménagement du site du PTN. Devant le juge, Amy Samakhé a rejeté les accusations, affirmant avoir exécuté les travaux grâce à un préfinancement personnel. Elle soutient avoir initialement refusé le contrat, avant de céder sur insistance des autorités, qui lui auraient garanti que les fonds provenaient de ressources privées, hors budget ministériel.
Malgré ses arguments, elle a dû procéder à un cautionnement réel. L’enquête se poursuit pour déterminer les responsabilités dans ce dossier sensible.
L’entrepreneure Amy Samakhé et la Directrice de l’administration générale (DAG), Hélène Ndouckité Helndou Diouf, ont été remises en liberté sous contrôle judiciaire, après avoir déposé une caution réelle. En revanche, le directeur administratif et financier (DAF), Ismaïla Thimbo et le coordonnateur Bassirou Abdou Bâ, ont été placés sous mandat de dépôt.
L’affaire concerne un marché public estimé à 1,476 milliard FCfa, destiné à l’aménagement du site du PTN. Devant le juge, Amy Samakhé a rejeté les accusations, affirmant avoir exécuté les travaux grâce à un préfinancement personnel. Elle soutient avoir initialement refusé le contrat, avant de céder sur insistance des autorités, qui lui auraient garanti que les fonds provenaient de ressources privées, hors budget ministériel.
Malgré ses arguments, elle a dû procéder à un cautionnement réel. L’enquête se poursuit pour déterminer les responsabilités dans ce dossier sensible.