A classer sans suite: les faiblesses d'un homme de tenue, sans retenue ! par M. Diop, ancien Officier de paix


Rédigé le Vendredi 26 Juin 2020 à 12:45 | Lu 81 fois | 0 commentaire(s)



Si l'homme de tenue que fut ce commissaire "diviseur" de classe exceptionnelle jetait un œil sur le rétroviseur de son propre parcours professionnel, si émaillé d’entourloupes, la pâleur repoussante de ses méfaits d'armes, le retiendrait à se lancer dans toute diatribe injurieuse ; l'imposture a beau se déguiser, elle sera toujours démasquée.


A classer sans suite: les faiblesses d'un homme de tenue, sans retenue ! par M. Diop, ancien Officier de paix
Jugez-en vous-même. Les faits sont têtus, ils empêchent de travestir l'histoire. Juste un petit rappel de quelques faits et méfaits traversés par une cupidité aveugle, celle-là justement dénoncée gratuitement chez l'autre. 

1) un activisme débordant et malsain lors des évènements de la police qui ont mené à la radiation de tout un corps des forces de défense et de sécurité en 1987 ; 

2) l'implication, lors de son séjour en Police municipale, dans des affaires fâcheuses de foncier, ayant terminé devant la justice ; 

3) l'humiliation répétée et en public par un édile de la ville de Dakar, qui a toujours accusé notre "commissionnaire" de dissiper des dotations insignifiantes de carburant et leur reconversion frauduleuse en numéraires ; 

4) un séjour à l’Agence d’assistance à la sécurité de proximité (Asp) écourté par une inconduite notoire, que l’ancien Directeur général de ladite agence confirmera avec force détails. 

La cupidité, encore la cupidité, toujours la cupidité, voilà la cause de toute cette haine gratuite que porte cette plume, lourde ou légère (c'est selon), et que magnifie l’autre intermittent de la politique politicienne, ancien premier ministre par la seule volonté du Prince, qui, dans son joyeux calvaire, accourt pour, dit-il, valider. Que resterait-il dans ce monde si le ridicule tuait ! 

Un peu de retenue, ai-je envie de leur signifier. Droit à la critique, certes oui ; mais que coûte-t-il de l’exercer dans le respect des institutions qui portent la force du suffrage universel ? Le Président Jimmy Carter le disait si éloquemment : "une personne forte peut se permettre d'être douce, ferme, réfléchie et retenue. C'est une personne faible qui se comporte avec fanfaronnade, vantardise, témérité et d'autres signes d'insécurité." 

Face aux faiblesses de l'homme de tenue sans retenue, qu'attendre d'autre du maître des poursuites que de classer l'affaire sans suite ? Répondre à des coups de pied, c'est se mettre au niveau de celui qui les donne, dit-on.


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