Faut-il en conclure que le marché restreint de plus de 8 milliards pour l’achat des 165 véhicules des députés a bien été attribué à Cheikh Gueye, un homme sans statut de concessionnaire, poursuivi pour tentative de corruption ?
Ironie du sort : c’est cette même Assemblée nationale, qui s’arroge le droit de poursuivre d’anciens ministres, qui resterait muette face à un scandale aussi grave dans sa propre gestion ?
La transparence ne peut pas être à géométrie variable.
Ardo Gningue