Même si pour le moment, aucune crise alimentaire n’est notée dans le pays, d’ici le mois de juin prochain, 385 000 personnes risquent de faire les frais de cette crise, si rien n’est fait.
Le constat est de Jean Pierre Senghor, secrétaire exécutif à la Sécurité alimentaire. « A la date d’aujourd’hui, il y a aucun département qui se trouve en situation de crise alimentaire », dit-il. Et de s’empresser d’ajouter que « même s’il y a embellie, ce n’est pas une raison pour croiser les bras et attendre, parce que la population est en phase de pression ».
Cela notamment dans trois localités qui pourraient basculer si on n’anticipe pas sur la situation avant juin. « On constate que dans trois départements, si on ne fait rien, on va déboucher sur cette phase de crise. Il s’agit des départements de Kanel, Matam et Ranérou », a-t-il précisé.
Les Echos
Le constat est de Jean Pierre Senghor, secrétaire exécutif à la Sécurité alimentaire. « A la date d’aujourd’hui, il y a aucun département qui se trouve en situation de crise alimentaire », dit-il. Et de s’empresser d’ajouter que « même s’il y a embellie, ce n’est pas une raison pour croiser les bras et attendre, parce que la population est en phase de pression ».
Cela notamment dans trois localités qui pourraient basculer si on n’anticipe pas sur la situation avant juin. « On constate que dans trois départements, si on ne fait rien, on va déboucher sur cette phase de crise. Il s’agit des départements de Kanel, Matam et Ranérou », a-t-il précisé.
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