Ma plume m’a toujours servi, depuis des années, pour informer les populations dans le plus grand professionnalisme.
Mais aujourd’hui, je l’agite pour m’indigner. Dénoncer ce que je tais depuis plusieurs années.
Certes, beaucoup de familles se reconnaîtront dans ces écrits.
Je tiens à saluer de prime abord, le professionnalisme de nos médecins qui n’est plus à démontrer. Mais dans chaque organisation, il y a des brebis galeuses.
Il se passe des choses épouvantables dans nos hôpitaux.
Des malades, qui pouvaient être sauvés, meurent tous les jours à cause de la négligence de certains médecins.
Pour ne citer que mon cas (en sachant que plusieurs familles vivent ou ont vécu pareilles situations et souffrent en silence), j’ai perdu des proches à cause du laxisme, de la négligence et du manque de professionnalisme inacceptables de certaines blouses blanches qui ne méritent pas, pour le moins du monde, le titre de Docteur.
Ce vendredi 12 juillet 2013, mon réveil a été brutal quand on m’a annoncé tôt le matin, le décès de ma sœur âgée à peine de 23 ans. Cette jeune femme brave s’est battue pendant trois ans (3 ans) contre une maladie qui pourtant, pouvait être traitée si la rigueur y était, dans le traitement. Je veux parler du rhumatisme.
Des hospitalisations et des va-et-vient incessants à l’hôpital n’ont servi à rien. Mais le plus répugnant dans cette affaire, c’est la médication. On a fait prendre à ma sœur, dix sept (17) médicaments par jour pendant si longtemps. Quelle personne sur cette terre, aussi forte soit-elle, peut supporter 17 médicaments par jour ? A plus forte raison une jeune de 23 ans ? Et le pire dans tout cela, ce sont les effets secondaires de ces médicaments. Du rhumatisme, ma sœur est passée à des problèmes de reins puis des problèmes de cœur. Physiquement, elle était devenue méconnaissable à cause de cette pléthore de médicaments qu’elle prenait quotidiennement.
Mais d’où sortent ces criminels de la médecine ?
Elle-même (ma sœur) avait le pressentiment qu’il se passait des choses pas normales. La dernière phrase qu’elle m’a dite en est une preuve. Je la cite : «Astou je sens que les médecins me négligent (…). Il faut que je me fasse soigner hors du pays.» Malheureusement, son souhait a été vain.
Ma sœur nous a quittés à la fleur de l’âge. Brillante et brave fille qui poursuivait ses études universitaires avec brio, malgré sa maladie.
En 2011, j’ai perdu mon oncle. Il était hospitalisé dans un hôpital de la place mais ne se faisait soigner que quand il se plaignait auprès des médecins. Incroyable mais vrai ! Tant qu’il ne disait rien, on ne lui administrait pas de médicaments ou d’injection. Ma famille se disait que, peut-être que les médecins pensaient que mon oncle était condamné. Mais même le cas échéant, ils auraient dû communiquer afin de nous dire ce qu’il en était réellement. Mais il était impossible de leur parler ou de savoir l’évolution de la santé de mon oncle. Les toubibs ne disaient rien, absolument rien jusqu’à la mort de mon oncle, jusqu’à aujourd’hui. Ils ne nous ont rien dit.
En 2008, j’ai perdu ma grand-mère. Elle fut internée dans un hôpital de la place pour soigner des brûlures pas du tout graves. D’ailleurs, elle préparait sa sortie de l’hôpital puisqu’elle allait mieux. Mais étant un peu affaiblie, un médecin décida de lui faire une perfusion de glucose. Un acte qui sera fatal à ma grand-mère car le toubib n’avait pas pris le soin de lui faire des tests pour savoir si elle était diabétique ou pas. Après la perfusion du glucose, elle tomba dans le coma avant de succomber un 12 juin car oui, elle avait le diabète !
Mais d’où sortent ces criminels de la médecine ?
Jusqu’à quand ils continueront à tuer nos proches par négligence et manque de professionnalisme ? Eux qui sont censés sauver des vies ?
C’est avec un cœur meurtri et révolté que j’interpelle les familles qui se reconnaitront à travers mes écrits. J’interpelle les organisations de défense des droits de l’Homme, mais aussi et surtout les autorités étatiques, en l’occurrence le ministre de la Santé et de l’Action sociale et le chef de l’Etat.
J’interpelle l’Ordre des médecins et toutes les personnes éprises de justice pour une mobilisation afin que plus pareille situation ne se reproduise.
Nous devons le faire pour la mémoire de nos disparus et pour sauver ceux qui sont actuellement entre les mains de ces criminels de la médecine.
Plus jamais ça !
Mais aujourd’hui, je l’agite pour m’indigner. Dénoncer ce que je tais depuis plusieurs années.
Certes, beaucoup de familles se reconnaîtront dans ces écrits.
Je tiens à saluer de prime abord, le professionnalisme de nos médecins qui n’est plus à démontrer. Mais dans chaque organisation, il y a des brebis galeuses.
Il se passe des choses épouvantables dans nos hôpitaux.
Des malades, qui pouvaient être sauvés, meurent tous les jours à cause de la négligence de certains médecins.
Pour ne citer que mon cas (en sachant que plusieurs familles vivent ou ont vécu pareilles situations et souffrent en silence), j’ai perdu des proches à cause du laxisme, de la négligence et du manque de professionnalisme inacceptables de certaines blouses blanches qui ne méritent pas, pour le moins du monde, le titre de Docteur.
Ce vendredi 12 juillet 2013, mon réveil a été brutal quand on m’a annoncé tôt le matin, le décès de ma sœur âgée à peine de 23 ans. Cette jeune femme brave s’est battue pendant trois ans (3 ans) contre une maladie qui pourtant, pouvait être traitée si la rigueur y était, dans le traitement. Je veux parler du rhumatisme.
Des hospitalisations et des va-et-vient incessants à l’hôpital n’ont servi à rien. Mais le plus répugnant dans cette affaire, c’est la médication. On a fait prendre à ma sœur, dix sept (17) médicaments par jour pendant si longtemps. Quelle personne sur cette terre, aussi forte soit-elle, peut supporter 17 médicaments par jour ? A plus forte raison une jeune de 23 ans ? Et le pire dans tout cela, ce sont les effets secondaires de ces médicaments. Du rhumatisme, ma sœur est passée à des problèmes de reins puis des problèmes de cœur. Physiquement, elle était devenue méconnaissable à cause de cette pléthore de médicaments qu’elle prenait quotidiennement.
Mais d’où sortent ces criminels de la médecine ?
Elle-même (ma sœur) avait le pressentiment qu’il se passait des choses pas normales. La dernière phrase qu’elle m’a dite en est une preuve. Je la cite : «Astou je sens que les médecins me négligent (…). Il faut que je me fasse soigner hors du pays.» Malheureusement, son souhait a été vain.
Ma sœur nous a quittés à la fleur de l’âge. Brillante et brave fille qui poursuivait ses études universitaires avec brio, malgré sa maladie.
En 2011, j’ai perdu mon oncle. Il était hospitalisé dans un hôpital de la place mais ne se faisait soigner que quand il se plaignait auprès des médecins. Incroyable mais vrai ! Tant qu’il ne disait rien, on ne lui administrait pas de médicaments ou d’injection. Ma famille se disait que, peut-être que les médecins pensaient que mon oncle était condamné. Mais même le cas échéant, ils auraient dû communiquer afin de nous dire ce qu’il en était réellement. Mais il était impossible de leur parler ou de savoir l’évolution de la santé de mon oncle. Les toubibs ne disaient rien, absolument rien jusqu’à la mort de mon oncle, jusqu’à aujourd’hui. Ils ne nous ont rien dit.
En 2008, j’ai perdu ma grand-mère. Elle fut internée dans un hôpital de la place pour soigner des brûlures pas du tout graves. D’ailleurs, elle préparait sa sortie de l’hôpital puisqu’elle allait mieux. Mais étant un peu affaiblie, un médecin décida de lui faire une perfusion de glucose. Un acte qui sera fatal à ma grand-mère car le toubib n’avait pas pris le soin de lui faire des tests pour savoir si elle était diabétique ou pas. Après la perfusion du glucose, elle tomba dans le coma avant de succomber un 12 juin car oui, elle avait le diabète !
Mais d’où sortent ces criminels de la médecine ?
Jusqu’à quand ils continueront à tuer nos proches par négligence et manque de professionnalisme ? Eux qui sont censés sauver des vies ?
C’est avec un cœur meurtri et révolté que j’interpelle les familles qui se reconnaitront à travers mes écrits. J’interpelle les organisations de défense des droits de l’Homme, mais aussi et surtout les autorités étatiques, en l’occurrence le ministre de la Santé et de l’Action sociale et le chef de l’Etat.
J’interpelle l’Ordre des médecins et toutes les personnes éprises de justice pour une mobilisation afin que plus pareille situation ne se reproduise.
Nous devons le faire pour la mémoire de nos disparus et pour sauver ceux qui sont actuellement entre les mains de ces criminels de la médecine.
Plus jamais ça !