Le but de cet atelier, tout d’abord sert de plateforme pour un partage d’expériences sur la manière dont les pays Africains intègrent les différents programmes de développement globaux dans leurs processus de planification stratégique nationale. Par ailleurs les participants discuteront de la façon dont les pays africains peuvent attirer des investissements dans l’infrastructure de la large bande et tirer profit des avantages liés à l’accès à la large bande.
Selon M. Birima Mangara, le numérique constitue une chance pour l’Afrique. En outre, la transformation numérique est la chance que les pays africains, en général, et les PMA africains, en particulier, doivent saisir pleinement.
« Il n’y a aucun autre groupe de pays qui bénéficierait plus des TIC que les pays les moins avancés du monde, parmi lesquels plusieurs qui ont beaucoup œuvré afin de bénéficier des avantages d’un taux accru d’utilisation des technologies », informe ce dernier qui pense que nombreux sont les pays parmi les nations les moins développés qui ont fait des progrès dans l’amélioration de l’accès à l’internet à l’internet et aux téléphones portables, bien que le niveau moyen d’accès reste bas.
Cette rencontre organisée par le Gouvernement du Sénégal en collaboration avec UN-OHRLLS, réunit des représentants gouvernementaux et de la société civile, du secteur privé ainsi que des hauts fonctionnaires de l'ONU qui par ailleurs, permettra aux participants de partager leurs connaissances sur les Technologies de l’information et de la communication (TIC), de faire le point sur le progrès accomplis par rapport à l’atteinte des engagements internationaux, notamment les Objectifs de développement durable et le Programme d’action d’Istanbul en faveur des pays les moins avancés (PAI).
« Dans un monde connecté, les technologies de l’information et de la communication sont essentielles pour permettre aux individus et aux entreprises de participer dans l’économie du savoir », selon Gyan Chandra Acharya, Secrétaire général adjoint des Nations-Unies et Haut représentant pour les pays les moins développés, les pays en développement sans littoral et les petits états insulaires en développement.
Il ajoute que « pour atteindre la sécurité alimentaire, éradiquer la pauvreté, empêcher les pertes causées par des désastres, donner aux femmes et aux filles les moyens de se prendre en charge, l’accès au haut débit est une question transversale qui est indispensable pour atteindre les Objectifs de Développement Durable dans les pays les moins avancés ».
En somme, l'objectif final est de mettre l'accent sur la technologie haut débit et comment les pays les moins développés de l'Afrique pourront rentabiliser les investissements dans le haut débit afin d'atteindre le développement durable, et accélérer la mise en oeuvre du PAI.
Ndèye Safiétou Nam
Selon M. Birima Mangara, le numérique constitue une chance pour l’Afrique. En outre, la transformation numérique est la chance que les pays africains, en général, et les PMA africains, en particulier, doivent saisir pleinement.
« Il n’y a aucun autre groupe de pays qui bénéficierait plus des TIC que les pays les moins avancés du monde, parmi lesquels plusieurs qui ont beaucoup œuvré afin de bénéficier des avantages d’un taux accru d’utilisation des technologies », informe ce dernier qui pense que nombreux sont les pays parmi les nations les moins développés qui ont fait des progrès dans l’amélioration de l’accès à l’internet à l’internet et aux téléphones portables, bien que le niveau moyen d’accès reste bas.
Cette rencontre organisée par le Gouvernement du Sénégal en collaboration avec UN-OHRLLS, réunit des représentants gouvernementaux et de la société civile, du secteur privé ainsi que des hauts fonctionnaires de l'ONU qui par ailleurs, permettra aux participants de partager leurs connaissances sur les Technologies de l’information et de la communication (TIC), de faire le point sur le progrès accomplis par rapport à l’atteinte des engagements internationaux, notamment les Objectifs de développement durable et le Programme d’action d’Istanbul en faveur des pays les moins avancés (PAI).
« Dans un monde connecté, les technologies de l’information et de la communication sont essentielles pour permettre aux individus et aux entreprises de participer dans l’économie du savoir », selon Gyan Chandra Acharya, Secrétaire général adjoint des Nations-Unies et Haut représentant pour les pays les moins développés, les pays en développement sans littoral et les petits états insulaires en développement.
Il ajoute que « pour atteindre la sécurité alimentaire, éradiquer la pauvreté, empêcher les pertes causées par des désastres, donner aux femmes et aux filles les moyens de se prendre en charge, l’accès au haut débit est une question transversale qui est indispensable pour atteindre les Objectifs de Développement Durable dans les pays les moins avancés ».
En somme, l'objectif final est de mettre l'accent sur la technologie haut débit et comment les pays les moins développés de l'Afrique pourront rentabiliser les investissements dans le haut débit afin d'atteindre le développement durable, et accélérer la mise en oeuvre du PAI.
Ndèye Safiétou Nam