La cérémonie de clôture des activités du programme « Engagement civique et participation inclusive des jeunes », initié par l’article 19 entre dans le cadre de la sensibilisation des jeunes sur des questions récurrentes « qui appelle à des prises de conscience ».
Ainsi, cette journée constitue le prolongement des ateliers de formation sur la promotion de la liberté d’expression et l’accès à l’information dans la lutte contre l’intolérance, la discrimination et le fondamentalisme, selon Article 19.
Pour la directrice de l’Ong Article 19, la liberté d’expression permet de donner un pouvoir aux jeunes pour agir dans leur société et être au cœur des politiques publiques au lieu des rester comme des bénéficiaires. « Les jeunes doivent interpeller les autorités et avoir leur mot à dire dans le fonctionnement de leur cité », souligne Fatou Diagne Senghor.
Axé sur le thème « Promotion de la liberté d’expression et l’accès à l’information dans la lutte contre l’intolérance, la discrimination et le fondamentalisme au Sénégal », ce forum de réflexion a été également une occasion pour donner la parole aux jeunes afin de promouvoir la liberté d’expression mais aussi d’aller vers la quête de l’information pour connaitre leurs droits et devoirs et rompre ainsi avec l’ignorance.
Néanmoins, la liberté d’expression existe au Sénégal mais il y a des sujets complexes autour desquels les gens se heurtent. Sur les questions religieuses, beaucoup de frustrations sont notées puisque les jeunes sont utilisés pour défendre des positions qui ne sont pas républicaines, selon Mme Senghor avant d’ajouter que « la discrimination est sensible et fait comprendre qu’on ne peut pas discriminer les autres, donc tolérer l’autre, c’est avoir un peu de connaissance sur l’autre et savoir aussi les explications de ses actes par rapport à la dignité de l’autre ».
Cheikh Makhfou Diop
Ainsi, cette journée constitue le prolongement des ateliers de formation sur la promotion de la liberté d’expression et l’accès à l’information dans la lutte contre l’intolérance, la discrimination et le fondamentalisme, selon Article 19.
Pour la directrice de l’Ong Article 19, la liberté d’expression permet de donner un pouvoir aux jeunes pour agir dans leur société et être au cœur des politiques publiques au lieu des rester comme des bénéficiaires. « Les jeunes doivent interpeller les autorités et avoir leur mot à dire dans le fonctionnement de leur cité », souligne Fatou Diagne Senghor.
Axé sur le thème « Promotion de la liberté d’expression et l’accès à l’information dans la lutte contre l’intolérance, la discrimination et le fondamentalisme au Sénégal », ce forum de réflexion a été également une occasion pour donner la parole aux jeunes afin de promouvoir la liberté d’expression mais aussi d’aller vers la quête de l’information pour connaitre leurs droits et devoirs et rompre ainsi avec l’ignorance.
Néanmoins, la liberté d’expression existe au Sénégal mais il y a des sujets complexes autour desquels les gens se heurtent. Sur les questions religieuses, beaucoup de frustrations sont notées puisque les jeunes sont utilisés pour défendre des positions qui ne sont pas républicaines, selon Mme Senghor avant d’ajouter que « la discrimination est sensible et fait comprendre qu’on ne peut pas discriminer les autres, donc tolérer l’autre, c’est avoir un peu de connaissance sur l’autre et savoir aussi les explications de ses actes par rapport à la dignité de l’autre ».
Cheikh Makhfou Diop