Avec la mise en circulation du Brt, indiquent-ils, ce sont plus de 1 600 emplois qui seraient perdus. Ils réclament aussi leurs cotisations sociales et le renouvellement de leur parc automobile.
Les travailleurs de Dakar dem dikk sont sur le qui-vive. Avec l’arrivée du Brt qui concurrencerait la société de transport, ils craignent beaucoup pour l’avenir de leur entreprise.
«Nous sommes préoccupés par le Brt et le Ter», affiche Masseck Ndiaye, secrétaire général du Syndicat des travailleurs de Dakar dem dikk, qui a organisé vendredi dernier un point de presse pour parler de la situation de l’entreprise.
A l’en croire, l’arrivée du Brt ne serait pas sans conséquences. «Il va faire perdre à Dakar dem dikk 20 lignes. Quand il va démarrer ses activités, nous serons obligés de supprimer 20 lignes. Et chaque ligne contient 10 bus dont chacun emploie 8 agents. Si vous faites le calcul, cela fait un total de 1 600 emplois perdus», en déduit-il.
C’est pourquoi, malgré les 30% qui leur sont promis dans les parts du Brt, ils exigent la gestion totale de cette nouvelle société de transport pour préserver des emplois.
Le Quotidien
Les travailleurs de Dakar dem dikk sont sur le qui-vive. Avec l’arrivée du Brt qui concurrencerait la société de transport, ils craignent beaucoup pour l’avenir de leur entreprise.
«Nous sommes préoccupés par le Brt et le Ter», affiche Masseck Ndiaye, secrétaire général du Syndicat des travailleurs de Dakar dem dikk, qui a organisé vendredi dernier un point de presse pour parler de la situation de l’entreprise.
A l’en croire, l’arrivée du Brt ne serait pas sans conséquences. «Il va faire perdre à Dakar dem dikk 20 lignes. Quand il va démarrer ses activités, nous serons obligés de supprimer 20 lignes. Et chaque ligne contient 10 bus dont chacun emploie 8 agents. Si vous faites le calcul, cela fait un total de 1 600 emplois perdus», en déduit-il.
C’est pourquoi, malgré les 30% qui leur sont promis dans les parts du Brt, ils exigent la gestion totale de cette nouvelle société de transport pour préserver des emplois.
Le Quotidien
