Ils dénoncent par ailleurs l’achat de véhicules, le paiement des frais de mission et voyages, l’organisation de séminaires ou ateliers dont les synthèses en lieu et place du remboursement de ces dettes. Dénonçant le mauvais traitement salarial, ils révèlent que le personnel socio-sanitaire travaillant pour la grande majorité, les centres ou postes de santé, a connu une discrimination notoire dans la motivation COVID.
« Certains de ces travailleurs ont des contrats qui ne respectent pas les dispositions de lois et règlement de ce pays. Il est donc impératif de payer intégralement l’argent lié aux fonds COVID-19 pour ces travailleurs, de même que ceux qui travaillent dans les CTE, dont certains sont restés 6 voire 10 mois sans rémunération », tonnent les agents sanitaires.
Ils précisent que dans le secteur de la sante, le favoritisme et la discrimination dans le traitement des agents, a fini de créer un malaise et un sentiment de suspicion et de méfiance entre les mêmes acteurs du secteur ; ce même sentiment est ressenti dans le traitement vis-à -vis des autre agents de la Fonction publique.
Compte non tenu de la non-indexation de l’indemnité de risque, de l’inexistence d’indemnités de fonction, de responsabilité et surtout, de l’indemnité de logement, entre autres.
Face à tous ces maux, la fédération des syndicats de la santé (F2s boolo laaj sunu yelleef) exige l’ouverture rapide et sérieuse des négociations autour des différents points contenus dans la plateforme revendicative.
Lesquels points tournent autour du régime indemnitaire des systèmes de motivations, la situation des agents de santé communautaire, des prestataires et des contractuels au niveau des hôpitaux, le plan de carrière et le reclassement de certains agents au niveau de la Fonction publique à la hiérarchie, le respect des accords et les conclusions des différentes négociations, les manquements résultant des conséquences du redéploiement du personnel lié à l’acte 3 de la Décentralisation.
L’As
« Certains de ces travailleurs ont des contrats qui ne respectent pas les dispositions de lois et règlement de ce pays. Il est donc impératif de payer intégralement l’argent lié aux fonds COVID-19 pour ces travailleurs, de même que ceux qui travaillent dans les CTE, dont certains sont restés 6 voire 10 mois sans rémunération », tonnent les agents sanitaires.
Ils précisent que dans le secteur de la sante, le favoritisme et la discrimination dans le traitement des agents, a fini de créer un malaise et un sentiment de suspicion et de méfiance entre les mêmes acteurs du secteur ; ce même sentiment est ressenti dans le traitement vis-à -vis des autre agents de la Fonction publique.
Compte non tenu de la non-indexation de l’indemnité de risque, de l’inexistence d’indemnités de fonction, de responsabilité et surtout, de l’indemnité de logement, entre autres.
Face à tous ces maux, la fédération des syndicats de la santé (F2s boolo laaj sunu yelleef) exige l’ouverture rapide et sérieuse des négociations autour des différents points contenus dans la plateforme revendicative.
Lesquels points tournent autour du régime indemnitaire des systèmes de motivations, la situation des agents de santé communautaire, des prestataires et des contractuels au niveau des hôpitaux, le plan de carrière et le reclassement de certains agents au niveau de la Fonction publique à la hiérarchie, le respect des accords et les conclusions des différentes négociations, les manquements résultant des conséquences du redéploiement du personnel lié à l’acte 3 de la Décentralisation.
L’As