En décidant de ne pas respecter les engagements souscrits envers le président des Assises nationales Amadou Makhtar Mbow, le Président Macky Sall, signataire des Assises nationales et ses alliés Niasse, Tanor, entre autres initiateur desdites concertations, étaient loin de s'imaginer qu'ils seraient rattrapés par leur passé.
Aujourd'hui, tous les maux auxquels le pays est confronté et qui vont à l'encontre de la rupture et de la bonne gouvernance promises, ont été diagnostiqués. Suite à ce diagnostic, des remèdes ont été prescrits pour guérir le pays du mal qui le ronge depuis son indépendance. C'est ainsi que les "assisards" constatant la tendance à la concentration excessive des pouvoirs entre les mains de la présidence de la République noté depuis la crise de 1962, accentuée avec l'alternance en 2000, avaient décidé qu'il fallait y mettre un terme de même qu'à toute immixtion du chef de l'Etat dans le fonctionnement du législatif et du judiciaire.
Mais en refusant systématiquement de se conformer à l'ordonnance prescrite par Makhtar Mbow et son équipe qui lui avaient recommandé une réduction des pouvoirs exorbitants, le nouvel élu qui a préféré passer outre pour continuer à user et à abuser de ses prérogatives, de connivence avec ses alliés, est revenu à la case départ.
Car tous les périls qui guettaient le pays durant la première alternance de 2000 et que l'on croyait avoir enterré le 25 mars 2012, avec la chute du régime libéral, ont surgi de plus belle. Et le triste constat est qu'aujourd'hui, la deuxième alternance censée être celle de la rupture, présente un bilan décevant et les fruits n'ont pas tenu la promesse des fleurs.
source: la tribune
Aujourd'hui, tous les maux auxquels le pays est confronté et qui vont à l'encontre de la rupture et de la bonne gouvernance promises, ont été diagnostiqués. Suite à ce diagnostic, des remèdes ont été prescrits pour guérir le pays du mal qui le ronge depuis son indépendance. C'est ainsi que les "assisards" constatant la tendance à la concentration excessive des pouvoirs entre les mains de la présidence de la République noté depuis la crise de 1962, accentuée avec l'alternance en 2000, avaient décidé qu'il fallait y mettre un terme de même qu'à toute immixtion du chef de l'Etat dans le fonctionnement du législatif et du judiciaire.
Mais en refusant systématiquement de se conformer à l'ordonnance prescrite par Makhtar Mbow et son équipe qui lui avaient recommandé une réduction des pouvoirs exorbitants, le nouvel élu qui a préféré passer outre pour continuer à user et à abuser de ses prérogatives, de connivence avec ses alliés, est revenu à la case départ.
Car tous les périls qui guettaient le pays durant la première alternance de 2000 et que l'on croyait avoir enterré le 25 mars 2012, avec la chute du régime libéral, ont surgi de plus belle. Et le triste constat est qu'aujourd'hui, la deuxième alternance censée être celle de la rupture, présente un bilan décevant et les fruits n'ont pas tenu la promesse des fleurs.
source: la tribune