Pourtant, les signataires du manifeste de création du mouvement « Ld debout » lui font un clin d’œil élogieux, lui et son prédécesseur. « Aux camarades Abdoulaye Bathily et Mamadou Ndoye, Ld debout exprime une reconnaissance particulière, salue la grandeur morale et intellectuelle, leur rend un hommage mérité et assure que leurs efforts déployés à la tête du parti ne seront pas vains.
Bien au contraire, ils seront amplifies et entendus sur l’ensemble du territoire national et dans la diaspora dès les prochaines jours et tout au long des prochains semaines et mois à venir », lit-on. S’il n’a pas démissionné du parti, peut être devrait-il, tout comme Bathily, prendre son bâton de pèlerin pour essayer d’arrondir les angles et surtout sauver le navire ? Mamadou Ndoye a jeté l’éponge le 15 avril dernier.
Dans une de ses dernières sorties, l’ex secrétaire général de la Ld fustigeait le « manque de concertation et de « considération » au sein de Benno Bokk Yaakaar. Le prédécesseur de Nicolas Ndiaye émettait aussi des réserves sur la participation aux élections sous la bannière de la coalition présidentielle.
Une trajectoire semblable à celle de Souleymane Gueye Cissé et ses camarades qui protestent contre «le contrôle illicite du bureau politique contre l’avis de la base, aux seuls et uniques fins de sécuriser leurs postes et leurs positions personnelles de pourvoir dans l’appareil d’Etat ». Le cas de Ndoye est une énigme
Le Quotidien
Bien au contraire, ils seront amplifies et entendus sur l’ensemble du territoire national et dans la diaspora dès les prochaines jours et tout au long des prochains semaines et mois à venir », lit-on. S’il n’a pas démissionné du parti, peut être devrait-il, tout comme Bathily, prendre son bâton de pèlerin pour essayer d’arrondir les angles et surtout sauver le navire ? Mamadou Ndoye a jeté l’éponge le 15 avril dernier.
Dans une de ses dernières sorties, l’ex secrétaire général de la Ld fustigeait le « manque de concertation et de « considération » au sein de Benno Bokk Yaakaar. Le prédécesseur de Nicolas Ndiaye émettait aussi des réserves sur la participation aux élections sous la bannière de la coalition présidentielle.
Une trajectoire semblable à celle de Souleymane Gueye Cissé et ses camarades qui protestent contre «le contrôle illicite du bureau politique contre l’avis de la base, aux seuls et uniques fins de sécuriser leurs postes et leurs positions personnelles de pourvoir dans l’appareil d’Etat ». Le cas de Ndoye est une énigme
Le Quotidien