Pour l’ancien coordonnateur de la RADDHO, Dias a la tâche la plus ardue : "Je pense que le plus gros défi c’est celui de Dias. Parce qu’on vit mal à Dakar. On circule mal à Dakar. On respire mal à Dakar. Dakar n’est pas non plus une ville branchée.
Il faut faire en sorte que Dakar soit un cadre de vie où il fait bon vivre. D’autre part, Dakar n’a pas d’arbres. Il nous faut une ville verte.
Il nous faut une ville intelligente. Dakar est l’une des villes les plus polluées au monde. Dakar est même menacé de disparition d’ici 100 ans. La justice climatique est également un grand défi auquel est confronté Dakar.”
Il faut faire en sorte que Dakar soit un cadre de vie où il fait bon vivre. D’autre part, Dakar n’a pas d’arbres. Il nous faut une ville verte.
Il nous faut une ville intelligente. Dakar est l’une des villes les plus polluées au monde. Dakar est même menacé de disparition d’ici 100 ans. La justice climatique est également un grand défi auquel est confronté Dakar.”