Certes ce nouveau code ne fait pas que des heureux dans la presse car les conditions d’exercice de la profession de journaliste sont devenues plus drastiques et certains «confrères» pourraient se retrouver au chômage si le texte est appliqué à la lettre de même que certains organes de presse pourraient mettre la clé sous le paillasson, mais c’est l’ensemble des acteurs de la profession, syndicats et patronat compris qui souhaitaient qu’il soit voté. Aujourd’hui que le texte est adopté, ce sont de nouvelles perspectives qui s’annoncent… à condition que tout le monde joue le jeu et accepte les nouvelles règles.
Pour en revenir à Yakham Mbaye, il faut avouer que sans son implication personnelle, le projet aurait pu dormir encore longtemps dans les tiroirs de l’Assemblée nationale car de nombreux députés n’étaient pas favorables à son adoption, pour diverses raisons. C’est parce qu’il en a fait un cheval de bataille, un des chantiers de son compagnonnage avec le président de la République qu’il a pu convaincre le ministre de tutelle de faire diligence. S’il a fait preuve du même professionnalisme dans sa fonction de Secrétaire d’Etat, on comprend pourquoi la communication gouvernementale s’est beaucoup améliorée ces derniers temps. On l’aime ou on ne l’aime pas mais il faut lui reconnaître ses mérites car Yakham Mbaye est aujourd’hui l’un des rares journalistes de sa génération à avoir franchi tous les échelons de la profession, de reporter à Directeur de publication. Mais c’est en tant que Secrétaire d’Etat à la Communication qu’il a le plus apporté à la profession grâce à ce nouveau code de la presse. De quoi se frotter les mains.
TANGE TANDIAN ADMINISTRATEUR VIEOPLES.NET
Pour en revenir à Yakham Mbaye, il faut avouer que sans son implication personnelle, le projet aurait pu dormir encore longtemps dans les tiroirs de l’Assemblée nationale car de nombreux députés n’étaient pas favorables à son adoption, pour diverses raisons. C’est parce qu’il en a fait un cheval de bataille, un des chantiers de son compagnonnage avec le président de la République qu’il a pu convaincre le ministre de tutelle de faire diligence. S’il a fait preuve du même professionnalisme dans sa fonction de Secrétaire d’Etat, on comprend pourquoi la communication gouvernementale s’est beaucoup améliorée ces derniers temps. On l’aime ou on ne l’aime pas mais il faut lui reconnaître ses mérites car Yakham Mbaye est aujourd’hui l’un des rares journalistes de sa génération à avoir franchi tous les échelons de la profession, de reporter à Directeur de publication. Mais c’est en tant que Secrétaire d’Etat à la Communication qu’il a le plus apporté à la profession grâce à ce nouveau code de la presse. De quoi se frotter les mains.
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