C'est la stratégie qui change, mais, le combat de l'opposition pour un processus électoral transparent continue. L'objectif de Mamadou Diop "Decroix" et Cie étant de forcer la main à Macky Sall à organiser des élections "démocratiques et transparent" devant aboutir "à son départ", après la Présidentielle de 2019.
Dans un communiqué laconique, les députés de l'opposition annoncent avoir entamé un bras de fer judiciaire avec la mouvance présidentielle. "Un groupe de députés de l'opposition a déposé,hier après-midi, auprès du Conseil constitutionnel, un recours en annulation de la loi organique numéro 44/2016 portant Code électoral, adoptée le 3 janvier 2017 par l'Assemblée nationale",lit-on dans le texte.
Ce nouveau code électoral prévoit, entre autres, l'augmentation du nombre de députés de 150 à 165, dont 15 dédiés à la Diaspora.
Au bout du fil, Mamadou Diop "Decroix" dénonce une "rupture de l'égalité des citoyens" d'un même pays.
"Decroix" ne doute pas un seul instant que le Conseil constitutionnel tranchera en leur faveur. Même si la loi a été adoptée le 3 janvier dernier par l'Assemblée nationale, il y a un espoir de contourner le "forcing" de la majorité .
Dans cette loi portant Code électoral, l'opposition dénonce l'augmentation du nombre de députés, la manière de la répartition, le manque de consensus. Pourtant, dans leurs concertations avec le Président Sall, les leaders de l'opposition ont été assurés du maintien du nombre de députés à 150, y compris le quota de la Diaspora.
L'Obs
Dans un communiqué laconique, les députés de l'opposition annoncent avoir entamé un bras de fer judiciaire avec la mouvance présidentielle. "Un groupe de députés de l'opposition a déposé,hier après-midi, auprès du Conseil constitutionnel, un recours en annulation de la loi organique numéro 44/2016 portant Code électoral, adoptée le 3 janvier 2017 par l'Assemblée nationale",lit-on dans le texte.
Ce nouveau code électoral prévoit, entre autres, l'augmentation du nombre de députés de 150 à 165, dont 15 dédiés à la Diaspora.
Au bout du fil, Mamadou Diop "Decroix" dénonce une "rupture de l'égalité des citoyens" d'un même pays.
"Decroix" ne doute pas un seul instant que le Conseil constitutionnel tranchera en leur faveur. Même si la loi a été adoptée le 3 janvier dernier par l'Assemblée nationale, il y a un espoir de contourner le "forcing" de la majorité .
Dans cette loi portant Code électoral, l'opposition dénonce l'augmentation du nombre de députés, la manière de la répartition, le manque de consensus. Pourtant, dans leurs concertations avec le Président Sall, les leaders de l'opposition ont été assurés du maintien du nombre de députés à 150, y compris le quota de la Diaspora.
L'Obs